2012
TV & Télé-réalité | Eteignez Votre Ordinateur bANKSTERS PARIE 2 : LE BAL DES VAUTOURS
by yogilouLe bal des vautours (Vidéo Noire Finance Partie 2) Jean-Michel Meurice et Fabrizio Calvi - (France, 2012, 112 et 63 minutes). BANKSTERS Le second volet de ce documentaire sur Arte montre comment on a abouti à la crise actuelle et dénonce l'impunité des « banksters ». Avec des témoins éclairants (les banquiers Jean Peyrelevade et Guillaume Hannezo, les économistes Michel Aglietta et Paul Jorion)
Noire Finance Partie 1 : La grande pompe à phynances (Vidéo)
by yogilouJean-Michel Meurice et Fabrizio Calvi - (France, 2012, 112 et 63 minutes). Diffusion le mardi 2 octobre sur ARTE à 20h50. Le bal des vautours (Vidéo Noire Finance Partie 2) Jean-Michel Meurice et Fabrizio Calvi - (France, 2012, 112 et 63 minutes). Avec des témoins éclairants (les banquiers Jean Peyrelevade et Guillaume Hannezo, les économistes Michel Aglietta et Paul Jorion)
« Noire Finance », Bourses poursuite- Ecrans
by yogilouAvec des témoins éclairants (les banquiers Jean Peyrelevade et Guillaume Hannezo, les économistes Michel Aglietta et Paul Jorion) Jean-Michel Meurice et Fabrizio Calvi - (France, 2012, 112 et 63 minutes). Diffusion le mardi 2 octobre sur ARTE à 20h50.
Le bal des vautours (Vidéo Noire Finance Partie 2) Banks et banksters
by yogilouLe bal des vautours (Vidéo Noire Finance Partie 2) Jean-Michel Meurice et Fabrizio Calvi - (France, 2012, 112 et 63 minutes). Diffusion le mardi 2 octobre sur ARTE à 20h50. Les réalisateurs concluent leur enquête sur ce chiffre révélateur : les principaux dirigeants financiers mondiaux totalisent 95 milliards de dollars de salaire alors qu'ils ont accumulé 1 000 milliards de perte… Avec des témoins éclairants (les banquiers Jean Peyrelevade et Guillaume Hannezo, les économistes Michel Aglietta et Paul Jorion)
2006
Une économie d’apprentis sorciers, par Gabriel Kolko (Le Monde diplomatique)
by marcoIl existe au moins dix mille hedge funds, dont les quatre cinquièmes sont domiciliés dans les îles Caïmans. Toutefois, quatre cents d’entre eux, qui gèrent chacun au moins 1 milliard de dollars, réalisent à eux seuls 80 % des opérations. En l’état actuel, il n’existe aucun moyen de les réglementer.
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