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JJG revient sur une aventure intéressante. Rio est le premier fabricant de lecteur de MP3. A l’époque, ce sont surtout des appareils techniques et très perfectionnés. Sony sort aussi son mini-disc à la même époque. Pourtant aujourd’hui tout le monde utilise un ipod. Est-ce que vous savez pourquoi ?

Bah c'est simple : marketing. Apple étaient les seuls à pouvoir mettre les brouzoufs sur la table pour avoir un catalogue de musique en ligne digne de ce nom, et à assurer le développement d'un des pires logiciels de gestion de fichiers musicaux jamais écrit : iT(h)une$. Faut dire qu'il y avait dans ce logiciel la killer feature : le kiosque.

L’ambition de Rio était de faire un lecteur MP3 portable. L’ambition d’Apple était de faire un appareil nomade pour écouter de la musique en faisant du sport. Le premier était un bijou technique compliqué à utiliser. Le deuxième était un solution à un problème simple : il n’est pas possible de faire un footing avec un lecteur de CD portable, alors utilisons un lecteur de carte mémoire qui lira des fichiers numériques. Steve Jobs ne voudra pas de MP3 au début dans l’iPad car le son était moins bon que le format AC4.

Mais oui, tout ce que saint-Steve reprochait au MP3 c'était la qualité de son, il n'était aucunement emballé par la possibilité de faire du verrouillage de la chaîne de la musique, de la boutique au baladeur. Et vu la qualité des écouteurs fourni sur les premiers iPod, et la pauvreté des fonctionnalités audio sur les mêmes machines encore aujourd'hui, non non c'est sûr, c'est le son qui est important.

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AFIDORA est une communauté de réflexion autour des questions géopolitiques du Moyen-Orient, s'efforçant de restaurer un débat de raison sur les conflits y ayant cours (conflit israélo-palestinien, guerre d'Irak, Darfour...). Cet objectif est servi par un effort intellectuel intense et constant, et un rejet de tout extrémisme. Le think-tank met un point d'honneur à éviter d'adopter une quelconque ligne éditoriale politique. Les analystes de l'association s'efforceront, conformément à la charte d' AFIDORA, de tout mettre en oeuvre pour apporter simultanément de la sérénité, de l'objectivité, de la distance critique ainsi que du recul historique, aussi bien dans leurs propres analyses que dans le traitement de l'information sur le Proche-Orient.

<q>Les journalistes sont-ils voués à être les chargés de communication du Ministère de l’Intérieur ? C’est ce que l’on peut craindre quand on constate avec quelle légèreté ou quelle désinvolture intéressée nombre d’entre eux " manipulent " les chiffres eux-mêmes manipulés de la hausse, ou de la baisse (c’est selon...), de la délinquance. Nous n’avons pas pour vocation de devenir des conseils en journalisme ; mais il arrive que sur certains sujets - et celui-ci le justifie amplement -, nous alertions sur les risques de désinformation ceux dont la tâche est aussi de tenter de la déjouer. Une désinformation, en matière d’insécurité, dont ils pourraient se faire les relais s’ils ne prenaient pas en compte les remarques du Canard enchaîné, et surtout de l’association Pénombre, que nous reprenons ci-dessous.</q> <a href="http://www.acrimed.org/article2021.html" hreflang="fr">Acrimed</a>.

Un vendeur de solution de sécurité sort un communiqué de presse alarmiste, mais largement truqué, en faveur bien évidemment de leurs logiciels. Non, c'est n'est pas Tegam cette fois :-) Et certains médias le reprennent directement sans se montrer suffisamment critiques....

France soir ponds un dossier alarmiste sur les jeux vidéos à partir de rien...

Mais chacun sait que l’Internet est le refuge de tous les vilains pédophiles et autres pervers. Heureusement, en Suisse, il y a de courageux journalistes, inspiré par la police du canton, qui dénoncent le danger du blogue auprès de nos chères têtes blondes...<br/> A force de désinformation, on en arrive à faire voter des <a href="http://yro.slashdot.org/article.pl?sid=05/02/23/0547221">lois qui sont au mieux sans intérêt, au pire liberticides</a> (lisez aussi les commentaires).

L'utilisation de faits divers à outrance pour transformer l'information en divertissement provoque de la désinformation.