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In POV #97, Sergeo Kirby asked a series of needed questions about the landscape of interactive documentary. (Read Kirby’s article here.) Unfortunately, it felt like many of the answers he provided were reached before he started writing the article. Sergeo is a friend whose innovations have contributed some great things to Canadian doc culture, but that article can’t skate by without a rebuttal.

Meet the trackers, an industry most people can't see, control or question.

En moyenne, nous passons 27 d’heures par mois connectés à Internet via notre portable ou ordinateur . Durant celles-ci, nous avons tous nos habitudes. Nous consultons nos e-mails, faisons nos achats, publions des photos.. En somme : nous offrons à Internet un nombre considérable de données personnelles.

Интерактивный сериал Do Not Track на этот вопрос так толком и не отвечает, хотя общий тон проекта, конечно, подразумевает борьбу с трекингом. Зато, посмотрев хотя бы три шестиминутных видео, можно узнать, сколько отслеживающих информацию партнёров у вашего любимого новостного сайта, во сколько примерно можно оценить ваши аккаунты в социальных сетях и сколько средний пользователь платит за пользование бесплатным Google. 

Trackons les trackers, c’est le défi que lance la websérie #DoNotTrack mise en ligne il y a quelques jours. Les trackers désignent les outils discrets, mais extrêmement efficaces, qui observent, analysent et, bien souvent, mémorisent notre activité sur internet à des fins généralement commerciales. Pour en savoir plus sur cette réalité méconnue, nous sommes cette semaine avec Zineb Dryef et Vincent Glad, co-auteurs, ainsi que Greg Trowbridge, co-producteur du projet international et multilingue #DoNotTrack.

Des "J'aime" sur Facebook aux mots-clés repérés dans nos boîtes e-mail, en passant par les sites qu'on visite qui récoltent tout un tas de données sans même qu'on n'en soit conscient, la websérie interactive propose de faire la lumière sur le phénomène du tracking et l'économie du Web. Soit ces milliers de données, relevant directement de la vie privée ou non, qui permettent de nous recréer un profil psycho-social qui pourrait être utilisé à bon... et surtout à mauvais escient.

Do Not Track, le Web-documentaire est, pour ce que j’ai vu jusqu’à présent, une merveille éducative sur la vie privée. Foncez le voir !

Do Not Track essentially co-opts the tools of entities that track you to demonstrate how tracking actually works. In doing so, the series gets at some of the biggest questions looming over your relationship with the internet: What does it mean to be tracked? What information are you volunteering without even realizing it? If you have “nothing to hide,” why should you care about big data at all? To find out, I called up Brett Gaylor, showrunner and director of Do Not Track.

Ob am Computer, am Smartphone oder beim Einkaufen: Facebook will seine Nutzer überall wiedererkennen. Technische Neuerungen machen es möglich – und ein wachsendes Netzwerk weltweiter Datensammler.

« Do not track » permet de tout comprendre sur le business de nos données personnelles. On sait déjà, bien sûr, qu’on laisse des traces partout sur Internet, mais grâce à ce webdoc, vous découvrirez dans le détail comment ça marche et comment l’économie du web s’est construite autour du « tracking ».

L’apparition des algorithmes et la surveillance de masse de nos navigations ont pourri le climat cool d’internet.

Filmmaker and web developer Brett Gaylor wants you — yes, you specifically — to appreciate how your data is being tracked on the internet. His interactive, customizable NFB documentary Do Not Track, doesn't just tell you but expressly shows you just how sophisticated online surveillance has become.

Immediately upon clicking the 'Play' button, Do Not Track let's me it knows where I live and that it's a nice day outside. Hunched over my laptop in my office chair, my body straightens, an unbidden eye glancing out the window. Creator of this seven-part web documentary on data mining, Brett Gaylor, narrates the invasion of your privacy throughout—very effectively making you grateful for the fact that, at the very least, advertising companies don't do voice-overs while mercilessly tracking your every online movement.

Alors qu'elles peinent à se renouveler à l'antenne, les chaînes publiques sont à la pointe des nouvelles formes d'écriture sur Internet. En produisant, notamment, des documentaires multimédia ambitieux.

Pour promouvoir son web-documentaire "Do Not Track", ARTE s'immisce dans le flux d'actualités des internautes et les traque sur les réseaux sociaux.

The documentary Do Not Track, a multi-part project on data privacy, is personalized to individual viewers based on their online behaviors.

An interactive series debuting at the Tribeca Film Festival's Storyscapes provides a personal demonstration of the realities of data and privacy.

« Do Not Track », dont le premier épisode a été mis en ligne mardi, est produit par nos amis d’Upian, auxquels (outre le design de Rue89 depuis ses débuts...) on doit des webdocs comme « Alma » ou « Prison Valley ». Rue89 est partenaire de la diffusion de « Do Not Track ».

ARTE lance Do Not Track, une série pour « en savoir autant sur Internet qu’Internet en sait sur vous ». Deux épisodes sont en ligne depuis mardi. Si vous vous demandez quelles données personnelles sont collectées (et par qui), ou si vous estimez que la surveillance généralisée ne vous concerne pas, « parce que vous n’avez rien à cacher », vous devriez jeter un œil.

Arte propose un web documentaire personnalisable et interactif sur ce que le Net sait de nous. Une démonstration édifiante et in situ : entrez votre adresse e-mail... et le web docu vous dira tout ce qu'il peut déduire de cette simple information... Impressionnant.