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December 2005

video : bleatch manga 25 minutes fois 60 episodes : le cyber coffee shop des alpha geeks

by hurlantenova
Le personnage principal se nomme Ichigo Kurosaki, un adolescent de 15 ans qui vient de rentrer au lycée. Sa particularité, outre le fait d'avoir des cheveux oranges et d'avoir un goût très prononcé pour la bagarre hérité visiblement de son père, est qu'il peut voir et toucher les morts. Régulièrement, Ichigo rencontre donc des fantômes à qui il essaie de rendre service pour certains. Un soir, un Shinigami (désignant un être spirituel et pouvant être traduit par "dieu de la mort") rentre dans sa chambre. Les Shinigami sont chargés de guider les bonnes âmes (les "Plus") vers le Paradis ou plutôt la "Soul Society" et d'épurer les mauvaises âmes (les "Hollow"). Au même moment, la maison d'Ichigo se fait attaquer par un monstre, un de ces mauvais esprits. Le Shinigami, qui s'appelle Kuchiki Rukia en réalité, va tenter de l'anéantir, en vain. Elle explique à notre héros que le Hollow en a après lui, car il possède une grande force spirituelle: aussi pense-t-elle pouvoir lui transmettre ses pouvoirs afin qu'il devienne lui-même un Shinigami. Ichigo hérite de cette manière des pouvoirs de Kuchiki. A la grande stupéfaction de cette dernière, il semble non pas se contenter de la moitié de ses pouvoirs, mais de tous. Ichigo, devenu Shinigami à son tour, est donc prêt à faire la chasse aux Hollow! TITRE ORIGINAL : Bleach

rimbaud 11 : le cyber coffee shop des alpha geeks

by hurlantenova
Je vous ai déjà expliqué comme quoi, mon associé étant mort, j'ai eu de grandes difficultés au Choa, à propos de sa succession. On m'a fait payer deux fois ses dettes et j'ai eu une peine terrible à sauver ce que j'avais mis dans l'affaire. Si mon associé n'était pas mort, j'aurais gagné une trentaine de mille francs; tandis que je me retrouve avec les quinze mille que j'avais, après m'être fatigué d'une manière horrible pendant près de deux ans. Je n'ai pas de chance ! Je suis venu ici parce que les chaleurs étaient épouvantables cette année dans la mer Rouge: tout le temps 50 à 60 degrés; et, me trouvant très affaibli, après sept années de fatigues qu'on ne peut s'imaginer et des privations les plus abominables, j'ai pensé que deux ou trois mois ici me remettraient; mais c'est encore des frais, car je ne trouve rien à faire ici, et la vie est à l'européenne et assez chère. Je me trouve tourmenté ces jours-ci par un rhumatisme dans les reins, qui me fait damner; j'en ai un autre dans la cuisse gauche qui me paralyse de temps à autre, une douleur articulaire dans le genou gauche, un rhumatisme (déjà ancien) dans l'épaule droite ; j'ai les cheveux absolument gris. Je me figure que mon existence périclite. Figurez-vous comment on doit se porter, après des exploits du genre des suivants: traversées de mer et voyages de terre à cheval, en barque, sans vêtements, sans vivres, sans eau, etc., etc. Je suis excessivement fatigué. Je n'ai pas d'emploi à présent. J'ai peur de perdre le peu que j'ai. Figurez-vous que je porte continuellement dans ma ceinture seize mille et quelques cents francs d'or ; ça pèse une huitaine de kilos et ça me flanque la dysenterie.

rimbaud 10 : le cyber coffee shop des alpha geeks

by hurlantenova
Nous sommes aux mois d'amour ; j'ai dix-sept ans. L'âge des espérances et des chimères, comme on dit, - et voici que je me suis mis, enfant touché par le doigt de la Muse, - pardon si c'est banal, - à dire mes bonnes croyances, mes espérances, mes sensations, toutes ces choses des poètes - moi j'appelle cela du printemps. Que si je vous envoie quelques-uns de ces vers, - et cela en passant par Alph. Lemerre, le bon éditeur, - c'est que j'aime tous les poètes, tous les bons Parnassiens, - puisque le poète est un Parnassien, - épris de la beauté idéale ; c'est que j'aime en vous, bien naïvement, un descendant de Ronsard, un frère de nos maîtres de 1830, un vrai romantique, un vrai poète. Voilà pourquoi, - c'est bête, n'est-ce pas, mais enfin ? Dans deux ans, dans un an peut-être, n'est-ce pas, je serai à Paris. - Anch'io, messieurs du journal, je serai Parnassien ! - Je ne sais ce que j'ai là... qui veut monter... - Je jure, cher maître, d'adorer toujours les deux déesses, Muse et Liberté. Ne faites pas trop la moue en lisant ces vers... Vous me rendriez fou de joie et d'espérance, si vous vouliez, cher Maître, faire faire à la pièce Credo in unam une petite place entre les Parnassiens... Je viendrais à la dernière série du Parnasse : cela ferait le Credo des poètes !... - Ambition ! ô Folle !

rimbaud 9 : le cyber coffee shop des alpha geeks

by hurlantenova
Ces écritures-ci sont d'un jeune, tout jeune homme, dont la vie s'est développée n'importe où ; sans mère, sans pays, insoucieux de tout ce qu'on connaît, fuyant toute force morale, comme furent déjà plusieurs pitoyables jeunes hommes. Mais, lui, si ennuyé et si troublé, qu'il ne fit que s'amener à la mort comme à une pudeur terrible et fatale ; N'ayant pas aimé de femmes - quoique plein de sang ! - il eut son âme et son coeur, toute sa force, élevés en des erreurs étranges et tristes. Des rêves suivants, - ses amours ! - qui lui vinrent dans ses lits ou dans les rues, et de leur suite et de leur fin, de douces considérations religieuses se dégagent - peut-être se rappellera-t-on le sommeil continu des Mahométans légendaires, - braves pourtant et circoncis ! Mais, cette bizarre souffrance possédant une autorité inquiétante, il faut sincèrement désirer que cette Âme, égarée parmi nous tous, et qui veut la mort, ce semble, rencontre en cet instant-là des consolations sérieuses, et soit digne !

rimbaud 7 : le cyber coffee shop des alpha geeks

by hurlantenova
L'Idole, Sonnet du Trou du Cul Obscur et froncé comme un oeillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encor d'amour qui suit la fuite douce Des Fesses blanches jusqu'au coeur de son ourlet. Des filaments pareils à des larmes de lait Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse, À travers de petits caillots de marne rousse Pour s'aller perdre où la pente les appelait. Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse ; Mon âme, du coït matériel jalouse, En fit son larmier fauve et son nid de sanglots. C'est l'olive pâmée, et la flûte caline, C'est le tube où descend la céleste praline : Chanaan féminin dans les moiteurs enclos ! Albert Mérat P.V - A.R.

rimbaud 8 : le cyber coffee shop des alpha geeks

by hurlantenova
.. Voici le printemps. Le plant de vigne de l'abbé*** bourgeonne dans son pot de terre: l'arbre de la cour a de petites pousses tendres comme des gouttes vertes sur ses branches; l'autre jour, en sortant de l'étude, j'ai vu à la fenêtre du second quelque chose comme le champignon nasal du sup***. Les souliers de J*** sentent un peu; et j'ai remarqué que les élèves sortent fort souvent pour... dans la cour; eux qui vivaient à l'étude comme des taupes, rentassés, enfoncés dans leur ventre, tendant leur face rouge vers le poêle, avec une haleine épaisse et chaude comme celle des vaches! Ils restent fort longtemps à l'air, maintenant, et, quand ils reviennent, ricanent, et referment l'isthme de leur pantalon fort minutieusement, - non, je me trompe, fort lentement, - avec des manières, en semblant se complaire, machinalement, à cette opération qui n'a rien en soi que de très futile...

rimbaud 6 : le cyber coffee shop des alpha geeks

by hurlantenova
Mauvais sang J'ai de mes ancêtres gaulois l'oeil bleu blanc, la cervelle étroite, et la maladresse dans la lutte. Je trouve mon habillement aussi barbare que le leur. Mais je ne beurre pas ma chevelure. Les Gaulois étaient les écorcheurs de bêtes, les brûleurs d'herbes les plus ineptes de leur temps. D'eux, j'ai : l'idolâtrie et l'amour du sacrilège ; - Oh ! tous les vices, colère, luxure, - magnifique, la luxure ; - surtout mensonge et paresse. J'ai horreur de tous les métiers. Maîtres et ouvriers, tous paysans, ignobles. La main à plume vaut la main à charrue. - Quel siècle à mains ! - Je n'aurai jamais ma main. Après, la domesticité mène trop loin. L'honnêteté de la mendicité me navre. Les criminels dégoûtent comme des châtrés : moi, je suis intact, et ça m'est égal. Mais ! qui a fait ma langue perfide tellement qu'elle ait guidé et sauvegardé jusqu'ici ma paresse ? Sans me servir pour vivre même de mon corps, et plus oisif que le crapaud, j'ai vécu partout. Pas une famille d'Europe que je ne connaisse. - J'entends des familles comme la mienne, qui tiennent tout de la déclaration des Droits de l'Homme. - J'ai connu chaque fils de famille !

November 2005

alfa geek news special art

by hurlantenova
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July 2005

March 2005

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