14 December 2005 03:00
video : bleatch manga 25 minutes fois 60 episodes : le cyber coffee shop des alpha geeks
by hurlantenovaLe personnage principal se nomme Ichigo Kurosaki, un adolescent de 15 ans qui vient de rentrer au lycée. Sa particularité, outre le fait d'avoir des cheveux oranges et d'avoir un goût très prononcé pour la bagarre hérité visiblement de son père, est qu'il peut voir et toucher les morts. Régulièrement, Ichigo rencontre donc des fantômes à qui il essaie de rendre service pour certains. Un soir, un Shinigami (désignant un être spirituel et pouvant être traduit par "dieu de la mort") rentre dans sa chambre. Les Shinigami sont chargés de guider les bonnes âmes (les "Plus") vers le Paradis ou plutôt la "Soul Society" et d'épurer les mauvaises âmes (les "Hollow"). Au même moment, la maison d'Ichigo se fait attaquer par un monstre, un de ces mauvais esprits. Le Shinigami, qui s'appelle Kuchiki Rukia en réalité, va tenter de l'anéantir, en vain. Elle explique à notre héros que le Hollow en a après lui, car il possède une grande force spirituelle: aussi pense-t-elle pouvoir lui transmettre ses pouvoirs afin qu'il devienne lui-même un Shinigami. Ichigo hérite de cette manière des pouvoirs de Kuchiki. A la grande stupéfaction de cette dernière, il semble non pas se contenter de la moitié de ses pouvoirs, mais de tous. Ichigo, devenu Shinigami à son tour, est donc prêt à faire la chasse aux Hollow!
TITRE ORIGINAL : Bleach
rimbaud 11 : le cyber coffee shop des alpha geeks
by hurlantenovaJe vous ai déjà expliqué comme quoi, mon associé étant mort, j'ai eu de grandes difficultés au Choa, à propos de sa succession. On m'a fait payer deux fois ses dettes et j'ai eu une peine terrible à sauver ce que j'avais mis dans l'affaire. Si mon associé n'était pas mort, j'aurais gagné une trentaine de mille francs; tandis que je me retrouve avec les quinze mille que j'avais, après m'être fatigué d'une manière horrible pendant près de deux ans. Je n'ai pas de chance !
Je suis venu ici parce que les chaleurs étaient épouvantables cette année dans la mer Rouge: tout le temps 50 à 60 degrés; et, me trouvant très affaibli, après sept années de fatigues qu'on ne peut s'imaginer et des privations les plus abominables, j'ai pensé que deux ou trois mois ici me remettraient; mais c'est encore des frais, car je ne trouve rien à faire ici, et la vie est à l'européenne et assez chère.
Je me trouve tourmenté ces jours-ci par un rhumatisme dans les reins, qui me fait damner; j'en ai un autre dans la cuisse gauche qui me paralyse de temps à autre, une douleur articulaire dans le genou gauche, un rhumatisme (déjà ancien) dans l'épaule droite ; j'ai les cheveux absolument gris. Je me figure que mon existence périclite.
Figurez-vous comment on doit se porter, après des exploits du genre des suivants: traversées de mer et voyages de terre à cheval, en barque, sans vêtements, sans vivres, sans eau, etc., etc.
Je suis excessivement fatigué. Je n'ai pas d'emploi à présent. J'ai peur de perdre le peu que j'ai. Figurez-vous que je porte continuellement dans ma ceinture seize mille et quelques cents francs d'or ; ça pèse une huitaine de kilos et ça me flanque la dysenterie.
rimbaud 10 : le cyber coffee shop des alpha geeks
by hurlantenovaNous sommes aux mois d'amour ; j'ai dix-sept ans. L'âge des espérances et des chimères, comme on dit, - et voici que je me suis mis, enfant touché par le doigt de la Muse, - pardon si c'est banal, - à dire mes bonnes croyances, mes espérances, mes sensations, toutes ces choses des poètes - moi j'appelle cela du printemps.
Que si je vous envoie quelques-uns de ces vers, - et cela en passant par Alph. Lemerre, le bon éditeur, - c'est que j'aime tous les poètes, tous les bons Parnassiens, - puisque le poète est un Parnassien, - épris de la beauté idéale ; c'est que j'aime en vous, bien naïvement, un descendant de Ronsard, un frère de nos maîtres de 1830, un vrai romantique, un vrai poète. Voilà pourquoi, - c'est bête, n'est-ce pas, mais enfin ?
Dans deux ans, dans un an peut-être, n'est-ce pas, je serai à Paris. - Anch'io, messieurs du journal, je serai Parnassien ! - Je ne sais ce que j'ai là... qui veut monter... - Je jure, cher maître, d'adorer toujours les deux déesses, Muse et Liberté.
Ne faites pas trop la moue en lisant ces vers... Vous me rendriez fou de joie et d'espérance, si vous vouliez, cher Maître, faire faire à la pièce Credo in unam une petite place entre les Parnassiens... Je viendrais à la dernière série du Parnasse : cela ferait le Credo des poètes !... - Ambition ! ô Folle !
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