2013
Web et télévision, deux écritures en partage
(via)État des lieux du webdocumentaire - FRANCE 24
by 1 other2010
L’art traverse la rue | Cit@Zine
Since, une galerie engagée autant pour les artistes que pour le public. Dans ce lieu, on ne se contente pas d’accrocher des œuvres aux murs, on les sort dans la rue. Pied de nez au politiquement correct de l'institution artistique ?
Le webdocumentaire #1 « ZMÂLA
Entretien avec Alexandre Brachet, fondateur d’Upian (www.upian.com), maison de production plurimédia.
Propos recueillis par Éric Karsenty, Paris le 27 mai 2010.
“Redesignons le Monde”: compte-rendu » Article » OWNI, Digital Journalism
Pour approfondir le sujet, nous avons demandé leur avis sur l’ergonomie de la page d’accueil du Monde.fr à deux spécialistes. Alexandre Brachet, fondateur d’Upian, nous explique qu’ “en tant que lecteur du journal et du site, [il est] très à l’aise avec l’existant” :
Le mariage de l'info et du jeu vidéo - LeMonde.fr
by 1 otherL'équipe d'Upian ne s'arrête pas là : dans la foulée, elle développe un mini-jeu sur Dominique Strauss-Kahn et l'affaire de la MNEF ou un autre sur les déboires de Paco Rabanne avec la presse. "A l'époque, nous, on appelait ça des 'galettes', entre autres parce que c'était des petits trucs à servir chaud", se souvient Alexandre Brachet. "On n'avait pas l'impression de faire des jeux vidéo ; moi, je n'ai pas du tout cette culture-là. Mais on se disait qu'un dessin de presse, sur Internet, ça devait forcément être interactif !"
Gay on line | Public Sénat VOD
Standing by Darrell
Alexandre,fondateur d’Upian qui a produit le web documentaire Prison Valley, évoque dans la première partie de l’interview le parcours qui a conduit de Presidentielles.net au webdocu. Il prévoit un futur rayonnant à ce format et nous parle de ses envies.
Berlinale Highlight #4 – ‘Crossmedia Storytelling’ « Kasem Kharsa's Blog:
(via)Alexandre is founder of Studio Upian. He showed us two of his firm’s recent projects. The first, ‘Prison Valley’, isn’t ready yet but you should bookmark it and check on it later in the year.
His older project, ‘Gaza Sderot’, is still up and running and worth your time, especially if you’re interested in documentary work. It’s an online documentary made up of short stories of six characters from Gaza and six from Sderot. You can choose which characters you want to follow in a non-liner, interactive manner through these short videos and related blogs and forums. Basically the structure of the documentary is created by the viewer.
Arte lance sa plateforme Web documentaire avec Havana / Miami | FABRIQU@BLOG
(via)Alexandre Brachet présente "the Upian way of making web documentaries" | FABRIQU@BLOG
En Anglais dans le texte… With a nice french accent that makes it easy for everyone to understand what it’s all about.
Power to the Pixel, Berlin revival : l’architecture d’une histoire transmedia à la portée de tous (1/3) « The Biz and Tech Lab
(via)Puis, Alexandre Brachet a exposé deux web-documentaires qu’il a produits. Gaza Sderot a la particularité d’être diffusé, comme son nom l’indique, seulement sur internet, et d’être en permanence en split screen : l’internaute suit l’histoire de six personnages à Gaza (en Palestine) et à Sderot (en Israël) en même temps sur le même écran ; il peut également décider de les suivre personnage par personnage, par sujet (le sport par exemple), ou par lieu (tous définis sur une carte du type Google Earth). Ainsi, la narration peut, à tout moment, être délinéarisée ou relinéarisée… C’est à l’internaute de décider de quelle manière il veut visionner le documentaire.
» Webdocumentário » “Encontrar o dispositivo interativo adaptado à história”
(via)Alexandre Brachet, produtor da Upian, de Paris, deu uma entrevista ao site do terceiro Festival Européen des 4 Écrans, realizado em novembro, em que tenta conceituar melhor o que é webdocumentário.
2009
RFI - Historias en internet
by 1 otherMultimedia entrevistó también a Alexandre Brachet, fundador de la agencia Upian, productora de web documentales, o documentales en internet, un género donde las historias son la clave.
REPORTAGE « Le blog du festival des 4 écrans
1 comment (via)Les élèves de Bondy, guest-stars de l’après-midi lycéenne. Des jeunes de la banlieue parisienne sont venus présenter “Vues migratoires”, leur web-documentaire.
WEB-DOCUMENTAIRE « Le blog du festival des 4 écrans
(via)Pour la première fois, le Festival européen des 4 Écrans récompensera les trois meilleurs web-films de 2008 et 2009. Parmi ces douze œuvres conçues spécifiquement pour Internet, neuf web-documentaires. Un genre encore en phase d’expérimentation, donc difficile à définir.
Du neuf et du frais dans le Web-documentaire :
Pourtant, le Web-reportage n’a pas encore de forme arrêtée. Presque chaque nouveau sujet est l’occasion d’une présentation différente. “C’est un genre qui reste encore largement à exploiter”, fait remarquer Philippe Couve dans ‘Le Monde’. Il pointe ainsi de grandes différences entre des diaporamas sonores pouvant être assez linéaires dans la narration et certains documentaires imaginés comme des sites à part entière (comme Ciudad Juarez, réalisé par la société de production Upian). Alexandre Brachet, responsable d’Upian, dresse d’ailleurs le même constat. “Le temps n’est pas encore venu de dupliquer les formats, mais plutôt de continuer à en créer de nouveaux” explique-t-il. “Les internautes demandent à être surpris”, affirme-t-il.
Le Web-documentaire s'invite à "Visa pour l'image" - LeMonde.fr
Alexandre Brachet, responsable d'Upian, dresse d'ailleurs le même constat. "Le temps n'est pas encore venu de dupliquer les formats, mais plutôt de continuer à en créer de nouveaux" explique-t-il. "Les internautes demandent à être surpris", affirme-t-il.
Le webdocumentaire à la une « HemispheriqueS
(via)A l’occasion du festival Sunny Side of the doc, le quotidien gratuit 20 mn a consacré un article à ce nouveau genre journalistique. L’occasion pour Alexandre Brachet d’Upian de revenir sur son engagement de producteur et sur une démarche qui l’a conduit de la Cité des mortes à sa dernière production – actuellement en chantier – Canon City.
Le web-documentaire explose sur la toile sur 20minutes.fr
(via)Une évolution qu'Alexandre Brachet, d'Upian, a effectuée avec ses propres productions. «En 2002, avec “La Cité des mortes”, on essayait d'utiliser les contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis dans “Thanatorama”, on a vraiment introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros… mort! Enfin, avec “Gaza/Sderot”, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces deux villes, avec par exemple une frontière entre deux écrans sur le site».
Upian développe actuellement «Canon City», un web-docu sur les prisons américaines «où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes, car je pense que le web-documentaire doit être une œuvre collective». Et, donc, en progrès.