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2013

Ecole de journalisme de Sciences Po - Alexandre Brachet, un pionnier du Web documentaire

Du point de vue de l'editing, Alma, une enfant de la violence est aussi une petite révolution: chacun peut désormais s'approprier l’œuvre en l'intégrant directement sur son site, comme nous l'avons fait ci-dessous. L'audience est comptabilisée à la fois par Upian et par le site qui héberge les "embed". Alexandre Brachet a flairé la bonne idée. 42% du trafic sur le Web documentaire est généré par les sites qui l'ont "embedé" sur leurs pages. "La vraie révolution d'Internet, c'est l'hypertexte", insiste-t-il.

État des lieux du webdocumentaire - FRANCE 24

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En une dizaine d’années, le webdocumentaire a acquis ses lettres de noblesse. Il a aujourd’hui ses prix, ses festivals internationaux, ses références incontournables et ses clubs d’aficionados. Mais au-delà du cercle des professionnels et autres initiés, où en est vraiment le webdoc ? A-t-il trouvé ses marques… et son public ?

2011

2010

Le webdocumentaire #1 « ZMÂLA

Entretien avec Alexandre Brachet, fondateur d’Upian (www.upian.com), maison de production plurimédia.

Propos recueillis par Éric Karsenty, Paris le 27 mai 2010.

Standing by Darrell

Alexandre,fondateur d’Upian qui a produit le web documentaire Prison Valley, évoque dans la première partie de l’interview le parcours qui a conduit de Presidentielles.net au webdocu. Il prévoit un futur rayonnant à ce format et nous parle de ses envies.

» Webdocumentário » “Encontrar o dispositivo interativo adaptado à história”

(via)

Alexandre Brachet, produtor da Upian, de Paris, deu uma entrevista ao site do terceiro Festival Européen des 4 Écrans, realizado em novembro, em que tenta conceituar melhor o que é webdocumentário.

Emission sur le web-documentaire (BFM)

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L’atelier numérique, émission spécialisée dans les nouvelles technologies a consacré aujourd’hui son enquête au webdocumentaire, nouvelle forme de reportage sur le net. Alexandre Brachet (Upian.com) et Louis Villers (http://www.linterview.fr et ESJ Paris) étaient les deux invités. Nous vous proposons de réécouter cette émission riche en informations en lançant la vidéo ci-dessous. Bonne écoute !

2009

WEB-DOCUMENTAIRE « Le blog du festival des 4 écrans

(via)

Pour la première fois, le Festival européen des 4 Écrans récompensera les trois meilleurs web-films de 2008 et 2009. Parmi ces douze œuvres conçues spécifiquement pour Internet, neuf web-documentaires. Un genre encore en phase d’expérimentation, donc difficile à définir.

Du neuf et du frais dans le Web-documentaire :

Pourtant, le Web-reportage n’a pas encore de forme arrêtée. Presque chaque nouveau sujet est l’occasion d’une présentation différente. “C’est un genre qui reste encore largement à exploiter”, fait remarquer Philippe Couve dans ‘Le Monde’. Il pointe ainsi de grandes différences entre des diaporamas sonores pouvant être assez linéaires dans la narration et certains documentaires imaginés comme des sites à part entière (comme Ciudad Juarez, réalisé par la société de production Upian). Alexandre Brachet, responsable d’Upian, dresse d’ailleurs le même constat. “Le temps n’est pas encore venu de dupliquer les formats, mais plutôt de continuer à en créer de nouveaux” explique-t-il. “Les internautes demandent à être surpris”, affirme-t-il.

Le Web-documentaire s'invite à "Visa pour l'image" - LeMonde.fr

Alexandre Brachet, responsable d'Upian, dresse d'ailleurs le même constat. "Le temps n'est pas encore venu de dupliquer les formats, mais plutôt de continuer à en créer de nouveaux" explique-t-il. "Les internautes demandent à être surpris", affirme-t-il.

Le webdocumentaire à la une « HemispheriqueS

(via)

A l’occasion du festival Sunny Side of the doc, le quotidien gratuit 20 mn a consacré un article à ce nouveau genre journalistique. L’occasion pour Alexandre Brachet d’Upian de revenir sur son engagement de producteur et sur une démarche qui l’a conduit de la Cité des mortes à sa dernière production – actuellement en chantier – Canon City.

Le web-documentaire explose sur la toile sur 20minutes.fr

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Une évolution qu'Alexandre Brachet, d'Upian, a effectuée avec ses propres productions. «En 2002, avec “La Cité des mortes”, on essayait d'utiliser les contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis dans “Thanatorama”, on a vraiment introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros… mort! Enfin, avec “Gaza/Sderot”, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces deux villes, avec par exemple une frontière entre deux écrans sur le site».

Upian développe actuellement «Canon City», un web-docu sur les prisons américaines «où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes, car je pense que le web-documentaire doit être une œuvre collective». Et, donc, en progrès.

SUNNY SIDE OF THE DOC L'époque est au webdoc - Charente-Maritime / Actualité / Grand La Rochelle - Jeudi 25 Juin 2009 - SUDOUEST.COM

(via)
Autre pionnière de la création de webdocs, la société Upian exploite à fond toutes les nouvelles possibilités qu'offre Internet. Déjà remarquée avec « La Cité des morts » en 2005, qui traitait des assassinats de femmes à Ciudad Juárez au Mexique, elle présente cette année à La Rochelle « Gaza/Sderot », le récit de la vie quotidienne dans ces deux villes, situées de part et d'autre de la frontière israélo-palestinienne.

2008

LA MACHINE À SENS WEBDOCUMENTAIRE

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"Les Yeux dans l'Ecran", une série documentaire de Julien Gaurichon.

Avec Ana-Maria de Jesus, Upian et le Web flash festival (Nicolas Gans et Guylaine Monnier).

Accompagnant l'essor d'Internet, une nouvelle forme de documentaire a vu le jour sur la toile : le webdocumentaire. Informant le spectateur/surfeur de façon inédite, il permet une interaction avec le visiteur que n'offrent pas les autres médias comme la télévision ou la radio. Spécialistes du Net et concepteurs de webdocumentaires nous font découvrir ce moyen de communication révolutionnaire, entre oeuvre d'art et source d'informations.