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Dans une étude publiée dans la revue Journal of School Health, des chercheurs canadiens ont déterminé que « les enfants qui ont une saine alimentation réussissent mieux à l’école que les enfants à l’alimentation malsaine. »

Résistant à l’attrait des meilleures écoles, certains parents envoient leurs enfants dans les écoles des milieux défavorisés dans l’espoir qu’ils profiteront de la diversité culturelle. Une étude britannique conclut que les élèves en question réussissent tout aussi bien que ceux qui fréquentent une école de leur classe sociale.

Une étude de chercheurs d’Harvard à paraître dans le prochain numéro de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) indique que les élèves des quartiers défavorisés éprouvent un retard linguistique sur le plan du vocabulaire et de la lecture qui équivaut à une année scolaire.

L'une des plus grandes firmes d'évaluation aux États-Unis, Educational Testing Service (ETS), dont les SAT, vient de rendre publique une étude qui réaffirme le rôle prééminent de la famille au regard de l’échec scolaire, du moins dans le contexte américain.

Une équipe de chercheurs québécois a établi que l'environnement joue un rôle plus prépondérant que l'hérédité dans la réussite au début du parcours scolaire.

En plus de signaler la prépondérance usuelle des mathématiques et de la littératie, une étude fait ressortir des facteurs comportementaux comme l’attention et l’hyperactivité.

Une autre étude démontre que les élèves des écoles publiques réussissent généralement tout aussi bien que ceux qui fréquentent les écoles privées.

Une étude confirme ce que plusieurs éducateurs soupçonnent, à savoir que la première année est la plus cruciale.

Le Child Poverty Action Group, un organisme de lutte contre la pauvreté, affirme dans un rapport (PDF) que dès l’âge de trois ans les enfants des familles démunies accusent un retard allant jusqu’à neuf mois sur le plan du développement social et éducatif.

Une étude laisse entendre que la réussite dans un cours de science au secondaire ne se répercute pas dans les autres disciplines scientifiques au collège ou à l’université. Toutefois, une bonne préparation en mathématiques s’avère un bon indicateur de réussite en biologie, chimie et physique.

Au mois dernier, quelques organismes et entreprises ont organisé un sommet pour s’attaquer à ce qu’ils appellent The Silent Epidemic. Le sommet a donné lieu à une liste de dix recommandations pour combattre le décrochage.

Cette année, le congrès de l’Associated Professional Sleep Societies (APSS) apporte son lot de nouvelles études, dont une corrélation entre le sommeil et les résultats en littératie et mathématiques.

J’apprends, par le biais de l’Infobourg, l’existence de l’Observatoire international de la réussite scolaire (OIRS), parrainé par le Centre de recherche et d’intervention sur la réussite scolaire (CRIRES).

six leçons à enseigner aux élèves pour favoriser la réussite scolaire

Richard St. John a interviewé 500 personnes qui ont réussi dans leur domaine pour explorer les causes de leur succès. Son analyse se résume à huit éléments importants : la passion, le travail, l’excellence, l’objectif, la poussée, le service, les idées et la persévérance. Il a résumé le tout dans une présentation de trois minutes à TED.

Statistiques Canada a publié un rapport fascinant sur la disposition à apprendre à l’école pour les jeunes de cinq ans. Le rapport (PDF), riche en graphiques, aborde plusieurs facteurs qui influent sur les premières années d’adaptation au système scolaire, les plus cruciales sans doute pour la réussite éducative.

Les enfants qui savent réfréner leur désir de gratification obtiennent de meilleurs résultats aux examens standardisés. C’est du moins la conclusion d’une célèbre étude longitudinale, The Marshmallow Test (l’épreuve de la guimauve), menée par le psychologue Walter Mischel.

L'école ne peut pas réussir toute seule. Elle n'est pas cette entité mythique qui transforme automatiquement les enfants à la lumière d’un projet éducatif. Elle ne vaut qu'à la mesure des personnes qui l'animent. Quand ces éducateurs sont effilochés, la trame s'en trouve affaiblie. L'école a besoin d’appuis. Et c'est à la communauté qu'en revient la responsabilité.

Plusieurs causes ont contribué à la diminution du décrochage scolaire au Québec ces dernières années. Ayant navigué ces eaux troubles (le changement est toujours trouble, n’est-ce pas ?), voici quelques éléments de réponse.

étude révèle que les filles ont un net avantage sur les garçons lors des examens minutés